Défi 1: Changement climatique mondial
À l'avenir, les problèmes de changement climatique continueront d'affecter longtemps les industries mondiales de la pêche et de l'aquaculture et affecteront également radio-industries. Selon le rapport de la FAO sur l'impact du changement climatique sur la pêche et l'aquaculture, il existe actuellement 55 industries nationales qui ont promis des contributions déterminées à l'échelle nationale (NDC) qui sont indirectement affectées par le changement climatique, impliquant la sécurité alimentaire dans 8 pays, la sécurité alimentaire dans 32 pays. Auto-résilience, égalité des sexes dans 1 pays, participation du public dans 17 pays, sécurité sociale dans 5 pays, emploi rural dans 7 pays et services sociaux dans 2 pays.
Défi 2: La propagation de la nouvelle épidémie de la Couronne (Covid-19)

L'épidémie mondiale de la nouvelle épidémie de la Couronne en 2020 a provoqué une forte diminution du nombre d'activités marines humaines, ce qui peut offrir à l'océan l'occasion de récupérer, mais il est sans aucun doute un coup dur pour le commerce mondial des produits aquatiques, en particulier pour l'exportation des produits aquatiques. Ce fut un «hiver froid» pour l'économie ou pour les pays qui importent des pays pour répondre à la demande intérieure.

Prévision de la production mondiale de pêche de 2018 à 2030
Sur la base d'un modèle de prévision des pêches développé par la FAO en 2010, combiné aux données existantes, la FAO prévoit la production mondiale de pêche jusqu'en 2030 (voir graphique ci-dessous). Cependant, les résultats des prévisions de ce modèle ne sont pas des prévisions, mais des attentes raisonnables basées sur des hypothèses: la production, la consommation et le commerce mondiaux des pêcheries seront gravement perturbées par la nouvelle épidémie de la Couronne au début de 2021 (bien sûr, nous savons tous que cela dépend de la fin de la Comrade Chuan Jianguo.

Comme le montre le chiffre, en général, la production totale de poissons [1] dans le monde continuera d'augmenter à l'avenir, et il devrait passer de 179 millions de tonnes en 2018 à 204 millions de tonnes en 2030, soit une augmentation en glissement annuel de 15%. Parmi eux, la production d'aquaculture a contribué la majeure partie de l'augmentation, et il devrait atteindre 109 millions de tonnes en 2030, soit une augmentation de 32% par rapport à 2018, soit une augmentation de 26 millions de tonnes, tandis que la production de pêche maintient essentiellement le niveau d'origine.
La part des espèces d'élevage dans la production mondiale de pêche (à la fois des aliments et des utilisations non alimentaires) devrait passer de 46% en 2018 à 53% en 2030, dépassant la part de la production de capture. De ceci, 59% des poissons pour la consommation humaine proviendront de l'aquaculture, contre 52% en 2018.

Cependant, grâce à l'analyse des séries chronologiques, la FAO prévoit que le taux de croissance annuel moyen de l'aquaculture ralentira de 4,6% en 2007-2018 à 2,3% en 2019-2030. Le ralentissement du taux de croissance annuel moyen peut être attribué à: la promulgation de réglementations plus strictes et approfondies de la protection de l'environnement, la réduction de l'espace pour les ressources en eau et la production et l'épidémie de maladies animales aquatiques causées par une production intensive.

En examinant la production mondiale d'aquaculture, l'Asie représentera 89% de la production mondiale d'aquaculture d'ici 2030, et la Chine restera le premier producteur mondial, mais sa part de la production totale passera de 58% en 2018 à 20% en 2030. 56%. L'Afrique et l'Amérique latine devraient être les continents à la croissance la plus rapide pour l'aquaculture, avec des taux de croissance de 48% et 33%, respectivement. Cependant, la production totale d'aquaculture en Afrique est encore limitée et devrait atteindre 3,24 millions de tonnes en 2030, ce qui équivaut à 3% de la Chine.

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